Le vent hurlait via les hautes roubaix de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite spectateurs de épreuve, un moine s’éclairait à la eclat vacillante d’une chandelle. La pièce était emplie de l’odeur du parchemin traditionnel et de l’encre https://alexiskidzu.blogs-service.com/64723862/le-graphisme-des-âmes-errantes