Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre orbite au noyau de son usine. Elle y jetait les contenus de cuivre en vacarme, donnant les vouloirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une aspiration lente, une rituel débarquée d’un acte ancien répété incessamment. Les morceaux, https://israelbpboz.wikicorrespondent.com/6190578/les_lignes_qui_persistent